Né en Ligurie en 1945, G. Conte apparaît dès le début des années 80 comme l’une des figures les plus originales de la nouvelle poésie italienne.
Traduit de l’italien par Jean-Baptiste Para.
Sa préoccupation essentielle est de retrouver les liens qui unissaient encore, dans les temps mythologiques, l’homme à la nature, à ses secrets, à ses vibrations. Toute sa poésie est habitée par cette idée du Mythe.
Il a beaucoup voyagé pour nourrir sa recherche des traces encore perceptibles de ces vérités anciennes, à Taos, en Irlande, en Inde ou en Iran. Outre un magnifique livre, Terre du mythe (paru chez Arcane 17), il a ramené de ces voyages l’énergie et l’équilibre qui caractérisent sa poésie.