« La porte par laquelle on passe du sommeil en pleine réalité, mais c’est cela, le grand chemin ! Du rêve faux aux ouvertures du réel, ses fenêtres ses infinis jardins ses labyrinthes : une longue patience, avec cette façon de tourner autour, de rester sur orbite, jusqu’à ce que ça bouge, que ça parle, et l’acharnement devant un même seuil en apparence insignifiant. »