Dans sa douzième publication à L’Escampette, Allain Glykos met en scène une fratrie prête à régler ses comptes lors des obsèques du père. Du décès au cimetière, frères et sœurs s’affrontent dans des dialogues où alternent tristesse, détachement, ironie et dérision.
L’auteur s’inspire des faits et mots de la vie quotidienne, et propose une histoire qui tente de hisser la langue de la tribu à la hauteur d’une « poétique de famille ».
« Allain Glykos réussit le tour de force de faire rire, grâce à son humour décapant et féroce qui bouscule les convenances, allège le poids du chagrin et balaie les non-dits ».
