Ce grand roman voyou et post-célinien raconte, dans une langue très personnelle, une histoire d’amour et de jeu dans l’atmosphère d’un monde interlope que l’auteur connaît bien. « Je risque, dit-il, d’être le premier écrivain à être tué par un de ses personnages. Je peux me consoler en me disant que si j’en venais à mourir avant l’âge sur un coup de pare-chocs un peu louche, j’entrerais ainsi dans l’histoire littéraire, par la porte du cimetière, d’accord, mais on prend celle qu’on peut. »