Quand on se laisse envoûter par cette poésie de plein espace, zébrée d’images fulgurantes, on est comme rappelé à l’ordre par une petite musique de comptine. C’est le mystère et la pureté de ces
chants… « Théorie de dames blanches / cortège d’eaux oublieuses / lavandières du premier cercle / lavandières éblouies »