Leurs problèmes conjugaux respectifs contraignent deux amis d’enfance à cohabiter, malgré une incompatibilité presque parfaite. Ils en viennent à abandonner progressivement, pour l’animateur de radio ses préjugés machistes, et pour le comptable, qui découvre la générosité d’une migrante syrienne, ses réticences à l’égard des étrangers. Satire ironique et affectueuse, où rôdent l’amour et l’humour, ce délicieux roman dans la lignée de Robert Benchley et Woody Allen fait à la fois beaucoup rire et beaucoup songer.
Eliane Saliba Garillon présente son roman Ça ne pouvait pas tourner autrement : Vidéo