La prose d’Hélène Lanscotte est riche d’images et de couleurs. On retrouve ici, en écho, la même présence de l’enfance que dans Rouge avril. L’enfance qui n’en finit pas de dérouler sa nostalgie, avec ses « interdits », ses « secrets » et ses promesses… Le livre est constitué d’une succession de poèmes en prose, avec de page en page, un fil tendu comme un continuum qui permettrait de garder la note…